“La Fête est finie” Cette troisième est sans doute, à ce jour, la meilleure plaque du drôle de rappeur qu’est Aurélien Cotentin. L’album de la maturité, la fin d’un cycle, l’impression que la boucle est bouclée.
Que ce soit au niveau des textes, (im)pertinents et inspirés, ou de la production (aux bons soins de Skread, orfèvre du son d’Orelsan depuis toujours), moderne et léchée, on sent que six années d’absence et presque deux de travail ont payé. Sur les premières pistes – “San” et “La Fête est finie” -, l’auteur fait sa catharsis.
Capart Nicolas – La Libre (Déc. 2017)
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